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Ça Came Du Camer

Date : 
Lieu : PALAIS DE TOKYO
Organisateur : MASTATIK RECORD
 

Danse Traditionnelle NJEÜDÃ

Date : samedi, 18/05/2024 | 20:00
Lieu : Paris | Alhambra

FÊTE DE LA JEUNESSE

Elle marque l’importance et les droits des jeunes dans le pays. De nombreuses activités culturelles (danses, exposition des cultures folkloriques, théâtre, concours, sport) sont organisées dans les lycées et les campus universitaires pour découvrir de nouveaux talents.

FETE DE MAYI

Fête commémorative à l’occasion du retour forcé d’exil des Batangas à Kribi, en mai 1916. Les populations originaires d’Afrique centrale (présentes notamment au Cameroun et en Guinée équatoriale) s’étaient, pendant la Première Guerre mondiale, réfugiées dans le au sud du pays. Kribi était l’épicentre des combats. Chaque année, les Batangas commémorent ce retour.

FÊTE NATIONALE DU CAMEROUN

Le défilé sur le boulevard du 20 mai à Yaoundé est le clou de la journée. Jour férié oblige, de nombreuses manifestations sont organisées pour célébrer la République unifiée et indépendante du Cameroun : danses traditionnelles, concert d’artistes…

FIRBA ( Festival International Roots and Beauty Africa )

Le FIRBA est une biennale organisée sur 5 jours au Cameroun.
Toutes les expressions artistiques y sont représentées. Artistes indépendants, galeries et institutions publiques sont attendus.
Collectionneurs, amateurs d’art et grand public visiteront l’exposition. Ils feront vivre sur place et en ligne via une plateforme digitale dédiée, les nombreuses animations du festival.
C’est une opportunité sans précédent pour promouvoir et valoriser la création artistique en Afrique centrale. C’est une formidable plateforme au carrefour des affaires et de la créativité. Elle sublime des œuvres venues des quatre coins de l’Afrique.

LE NGOUON

C’est une fête traditionnelle Bamoun, organisée tous les deux ans et marquée par les fantasmes. Les Lamibé (pluriel de lamido), les Fons et les Fôs (respectivement les chefs traditionnels du Nord, du Nord-Ouest et de l’Ouest) sont invités à cette cérémonie. A l’origine, le Ngouon était une cérémonie des Tikars (dont les Bamouns sont en fait des descendants), qui avait lieu chaque année et qui servait à régler les conflits fonciers. Au cours de cette cérémonie, parrainée par les chefferies et les chefs des différentes tribus de la région, la sagesse des esprits était sollicitée pour résoudre les conflits et rétablir la cohésion entre les différents groupes sociaux. Le Ngouon est devenu, au fil du temps, un événement majeur chez les Bamouns et témoigne de leur aspiration à la paix, au dialogue, à l’unité et à la démocratie.

NGONDO

FÊTE DU NGONDO est la fête traditionnelle des Sawa, peuple de la côte camerounaise, qui se tient chaque année la première semaine de décembre. A l’origine, ce festival était un rassemblement d’enfants Sawa pour prendre des mesures de protection contre tout envahisseur. Mais au fil des années, le Ngondo s’est transformé en une grande cérémonie rituelle pour communiquer avec les ancêtres et esprits de l’eau, les “Jengu”, qui, selon la légende, vivent dans l’eau, et demandent leur protection. . . Le jour de la rencontre avec les ancêtres, les chefs et leurs notables se déroule sur les rives du Wouri, en tenue d’apparat (chemise blanche, pagne noir, foulard autour du cou pour les hommes et kaba, tenue traditionnelle, pour les femmes) . Le message des ancêtres est recueilli par un plongeur dans un vase sacré et lu à toute l’assemblée réunie au bord du fleuve. De nombreux témoins peuvent attester que cette plongeuse sort de l’eau complètement à sec, car protégée par le Jengu… Cette cérémonie est aussi l’occasion d’élire Miss Ngondo, d’organiser un spectacle de danses traditionnelles et une course de pirogues sur le Wouri.

TABASKI

Aussi appelé Aïd Al Kebir ou Aïd al Adha au Maghreb, signifiant littéralement “la grande fête” ou la “fête du sacrifice”, c’est la manifestation la plus importante de l’islam. La date varie selon le calendrier lunaire musulman. Au Cameroun, elle est connue sous le nom de Fête du Mouton. Il est de coutume de tuer un mouton quand vous pouvez vous le permettre et de le partager avec vos voisins et les pauvres. C’est un grand moment de communion et de partage entre camerounais de toutes religions.